13 novembre 2010
Mots à l'absent.
Je viens d’un rêve où je m'enferme avec la douceur de mes mots.
Le temps coule comme un sablier, impitoyable et indifférent.
Je vous vis,
je vous dessine,
je lis l'amour de votre âme
et ni la distance ni les silences
pourront cesser mon cœur de vous aimer.
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